Épreuve orale : les questions posées

malongochat écrit:

winter écrit: et si on nous demandes les dépenses de l'etat est ce qu'on la donne par nature ou par mission .

Moi je donnerai plutôt les dépenses par missions :
1-enseignement scolaire
2-charge de la dette.

Je pensais que c'était l'inverse.

Selon www.alternatives-economiques.fr/la-dette...r_art_965_51681.html , c'est les engagements financiers en premier.

Est ce que quelqu'un pourrait m'éclairer?

alex08200

Avant, oui c'était comme ce que tu viens de mettre. Ton info n'est plus à jour...euh Alternatives Economiques n° 296 - novembre 2010

Je te recopie mon message dans la rubrique oral contrôleur.

Dans le cadre de la LOLF, le budget de l’État n'est plus présenté par nature de dépenses (personnel, fonctionnement, investissement, etc)...mais par politiques publiques (sécurité, culture, santé...) désormais appelées missions

Voyez le lien
www.performance-publique.budget.gouv.fr/..._guidelolf2012_1.pdf

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edit + 2 mm: Pour les messages postés à la suite, tu peux juste faire edit et y rajouter les messages (comme je viens de faire

power

Merci beaucoup de ton aide car je me serais trompée :bravo2:




MERCI POUR L'INFO
edit + 2 mm: Pour les messages postés à la suite, tu peux juste faire edit et y rajouter les messages (comme je viens de faire

pouet2011 écrit: cela dit en passant j'ai aussi une question qui me turlupine:

— Une infraction pénale commise par un fonctionnaire en dehors de son travail aura-t-elle une incidence sur sa carrière ? Trouvez-vous cela normal ? ¹ ou bien un délit de fuite après un accident la veille ou un excès d’alcool lui valant le retrait de son permis par exemple...

Je dirais que son chef n’est pas censé savoir ce que le fonctionnaire fait en dehors de son travail. Donc si l’infraction commise ne donne pas lieu à une peine très lourde, la carrière du fonctionnaire ne sera pas compromise.. à chaque fois j’essaye de me referer aux droit et obligations du fonctionnaire mais je ne vois pas de devoir d’exemplarité du fonctionnaire partout au travail comme à coté du travail…

Il faut toujours retenir qu'on reste toujours fonctionnaire, même en dehors du travail et même à la retraite. Dans la théorie, pour une faute grave, les droits à une pension de retraite de la fonction publique peuvent être annulés. Je ne crois pas que cette sanction très lourde soit appliquée. Donc on peut avoir une sanction disciplinaire pour certains faits délictueux ou criminels commis en dehors de ses horaires de travail. Chaque administration a sa déontologie, la DGFIP est stricte là-dessus pour conserver sa légitimité et ne pas abîmer son image originellement peu populaire à cause de la vision que les contribuables ont des impôts et des autres paiements à l'ordre du Trésor public. Ses agents doivent donc être irréprochables durant toute leur vie.

espoir77 écrit: Personnellement, une question me hante, qui je pense, pourrait être posée en mise en situation :

En tant qu'agent C, nous devons stricte obéissance à nos supérieurs hiérarchiques... Oui, mais le ou lesquels ?
Faut-il entendre par supérieur hiérarchique :
le Comptable de la trésorerie (agent A++), OU, l' Inspecteur (agent A), ou n'importe quel Contrôleur (agent B ou B+) ?

Dans la théorie, comme à l'armée, on devrait obéir à toute personne plus gradée que soit, au moins pour la DGFIP en tant qu'agent obéir à tout contrôleur. Dans la réalité ce n'est pas vraiment cela. On obéit à son chef de service (et bien entendu aux supérieurs du chef de service), à ses adjoints (inspecteurs généralement voire plus en direction) et si on en a à son chef d'équipe, cela peut être un contrôleur si l'on travaille en secteur dans un SIP. Mais il y a des services où agents et contrôleurs travaillent ensemble sans hiérarchie. Chaque service a son organisation et sa hiérarchie.

La réforme des retraites a été adoptée par le Parlement le 18 décembre 2013
Les principales mesures sont
- le maintien de l'âge légal de départ à 62 ans,
- l'allongement de la durée de cotisations à 43 ans en 2035
-la mise en place à partir de 2015 d'un compte pénibilité, financé par les entreprises.
-une hausse des cotisations salariales et patronales de 0,15 point en 2014 puis +0,05 point par an jusqu'en 2017
-"un trimestre d'apprentissage" sera "un trimestre validé pour la retraite"
-les majorations de pension de 10 % réservées aux retraités parents de trois enfants ou plus seront fiscalisées
-les pensions seront revalorisées le 1er octobre et non plus le 1er avril